Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Vidage de tête

15 février 2006

Saint Valentin (ca craint ou c'est bien ?)

Entre ceux qui trouvent que la Saint Valentin, c'est bien, ceux qui dépriment, ceux qui s'en foutent ou font semblant et ceux qui disent "nous on le fête pas", y'a de quoi déprimer, rien que pour essayer de comprendre les gens.

J'aurai eu tendance à penser que c'est commercial et tout mais bon, avoir plaisir à faire plaisir, ça manque.
Et quand tu ouvres la radio et au hasrd d'un vaste zapping et que t'entends "the power of love", "les filles à la machine", "Still loving you", là, tu pètes un cable.

Et le lendemain
Vive le train-train quotidien

Publicité
Publicité
13 février 2006

Caramba... encore raté...

Alors soit je suis perturbé, soit vraiment, y'a quelque chose que je pige pas.
Ma cousine a plein d'amies. Et elle me les a présentées
Il a fallu que j'apprécie plus que de raison une de ces filles là pour me prendre un camouflet du genre "dégage".
De là, j'ai pu constater des trucs :

La première : Mince alors, je suis vieux..
La seconde : Mince, je plais toujours pas physiquement...
La troisième : Bon, ok, j'arrête de chercher une copine...

C'est fou comme les choses que tu peux imaginer sont loin de la réalité. Tu fais en sorte de prendre en compte tous les paramètres, faire semblant d'analyser et là, tu te plantes lamentablement. Et quand je dis lamentablement, c'est que rien de ce que tu avais prévu n'arrive. Logique.

Le seul truc de sûr à la fin, c'est que rien à changé.
Tu restes comme un imbécile.

13 février 2006

Les rencontres

Pas évident de trouver un moyen de rencontrer des gens pour un impatient.
Que nous reste-t-il comme moyens après avoir quitté un cursus scolaire ? Le sport ? Des activités annexes ?
Certes. Mais comment franchir le cercle d'auto-défense du tout un chacun.
En sport, on arrive, on joue, souvent de très bonnes ambiances, on se salue et on part.
Ceux qui se connaissent restent ensemble. Ceux qui sont seuls, se mettent ensemble, par défaut souvent. Ca prend ou ça prend pas, mais rarement mixtes.

Je me suis dit, testons ces fameux sites de rencontre... Mouais...
Super perplexe. (Voir mon message du 16/07/2005 à ce propos).
J'ai discuté pas mal... quand on voulait bien discuter avec moi.
J'ai passé des heures à me répéter ce que je faisais, ce qu'était ma vie, mes opinions et mes recherches. Tout en nuance.
Au final : Y'a deux catégories de filles (je n'ai parlé qu'avec des filles mais les mecs, ca doit etre dans le même style). Celles qui sont là parce que leurs copines leur a dit mais n'y croit pas tout en se disant "j'espère que" mais qui ne pense pas rencontrer en vrai et celles qui sont là pour profiter.
Au final, j'ai rencontré une de chaque... et mon expérience s'arrêtera là.

Un peu marre de me justifier comme quoi je suis le gentil-garçon-qui-ferait-pas-de-mal-à-une-mouche-mais-qui-est-perdu et pas le méchant-vilain-profiteur-avide-de-rencontres-sexuelles-et-qui-se-cache-derrière-son-écran.

Ben c'est usant à la fin
(suite à venir... to be continued...)

13 février 2006

La suite, la suite

Comme je ne reviens pas régulièrement sur ma vie, faute de temps ou d'envie, des choses se sont passées depuis.
Les fêtes, entre autres. Dur dur.
La vie a continué, sans heurt, jour après jour.
Son anniversaire, mi-janvier a été dur à digérer. Ne pas envoyer de SMS, ne pas l'appeler, ne pas...
Je l'ai passé, j'en suis content.
dscf0012
Et puis je suis parti une semaine grâce à ma famille et mes amis, au Québec, faire une semaine de traineau à chiens.
Le désert blanc, la forêt enneigée, personne, pas de portable, pas d'ordinateur, des gens nouveaux, des vies à découvrir.
Le bien fou.
Ce que j'attendais.

La grosse patate ensuite, envie de tout faire, vite, bien.
Se poser et se sentir bien à tout prix. Se créer des activités annexes, passer du temps avec ceux que j'aime, avancer dans le boulot sans s'y noyer.

24 décembre 2005

autopsychanlayse de comptoir

Jour de noël, jour de fête ?
Des mois ont passé depuis mon dernier message, à lutter contre l'envie d'écrire des pages de cahier ou des messages ayant pour but de me vider la tête et la question lancinante : à quoi ça va servir.
Pas de réponses, que des auto réponses. Des questions, des centaines.

Une auto censure, des auto réponses, une auto psychanalyse et pas d'auto bien être.

Premier noël sans elle depuis 5 ans. Autre "épreuve" à passer.
A suivre

Publicité
Publicité
28 juillet 2005

je suis loin et pourtant

Une semaine que je suis sensé être en vacances.
Les ennuis de boulot ne font que me rapprocher au lieu de l'éloigner.
La distance me fait rêver d'elle. Elle s'accroche à moi et je ne sais plus très bien ce que j'ai rêvé, ce que j'ai vécu.
Un amalgamme se fait, et un brouillard qui s'épaissit.

J'attends avec impatience la date butoir qui m'interdit toute action. Et pourtant, je la redoute aussi.
Je sais que rien ne va changer. Je ne suis même pas sur de recevoir un coup de fil ou un SMS pour mon anniversaire.

Encore 10 jours à tenir.

En attendant, je tchat sur le net. Quand on veut bien me répondre.
Souvent, j'ai comme une impression de culpabilité. C'est stupide.
Je ne suis plus à elle, elle n'est plus à moi.

20 juillet 2005

Presque les vacances

Elles arrivent et je dois dire que je les attends avec impatience.
Simplement pour pouvoir m'éloigner.
Partir loin physiquement et dans ma tête.

Y'a des moments où tout roule. Des moments où ma tête ressemble à une fin du monde.
Quoi qu'il en soit. Il me faudra une réponse. J'essaye de me préparer psychologiquement à la "fatalité".
Je ne comprends toujours pas et m'est avis qu'après l'avoir vu, je n'aurai que peu de réponses.

J'ai envie de me battre mais je sais que ça ne sera que contre des moulins à vent. Je ne peux la faire m'aimer, je ne peux pas la faire changer d'avis. Les dés sont pipés. C'est pas juste.
Même si je refoule ces montées en pression, je sens comme une épée de Damoclès sur la tête.
L'impression que dès que je pars, un élastique me fait revenir au point de départ et me dis "De toute manière, c'est perdu". Et je retire dessus, minute arpès minute, heure après heure.
Il suffit d'un lieu, d'une pensée, pour que je fasse un bond en arrière et provoquent de longs soupirs.

J'entends des "laisse faire le temps" ou pour ceux qui veulent me rassurer "elle reviendra" mais je sais que les uns ont raison et les autres n'y croient pas.

Il me faut des mots d'elle, qu'elle assume. Je vais partir en vacances et faire le vide pour me préparer à la voir. Je n'accepterai pas si elle ne me le dis pas en face. Au besoin, je provoquerai notre entrevue si elle la refuse. Il le faut.

18 juillet 2005

Début de la fin

j'ai craqué et j'ai appelé sa meilleure amie.
Je dois vraiment aimer me faire du mal.
Elle m'a dit "Elle doit être bien avec lui, ca se sentait dans sa voix".
Remise en question. Flashback.
Mais bon sang. QU'EST-CE QUI S'EST PASSE !!!
Qu'on arrête le film. Qu'on me réveille.

Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
J'ai envie de crier, d'hurler même, d'exploser... de pleurer.
Je me traite de tous les noms.

Il me faut de l'air.
Que dois-je faire ? La harceler ?
Je voudrai qu'elle ose me dire que c'est fini. Et en face.
Je ne veux pas clore plus de 5 ans comme ça, parce qu'un type est passé et finir aux oubliettes avec un "peut être on se retrouvera" ou des "je veux voir comment c'est ailleurs".
Trop facile. Trop détourné.

Je reste comme un con. Dans un appart vide à retourner 100 fois les mêmes questions.
J'ai presque plus de choix.
Le spectre de journées pourries en perspective.
J'ai bientôt 30 ans et je viens de me prendre la plus grosse claque de ma vie.

18 juillet 2005

Et ca continue

Le rêve, ou plutôt le cauchemar continue.
Quand je dis rêve, j'ai l'impression que je vais me réveiller et que tout ça va finir. Que ce n'est pas possible, que ça pouvait pas finir comme ça, du jour au lendemain.
Je ne sais pas ce que je dois faire.
Je ne peux pas me dire "qu'elle vive sa vie" parce que je le le veux pas.
Et pourtant, jour après jour, je ne vois que cette issue. Plus proche, plus terrible.
Ce n'est pas possible qu'elle revienne comme ça, du jour au lendemain. Ce n'est pas possible que l'on recommence comme avant. J'ai eu trop de mal. Pour cela, il faudra de la patience pour reformer quelque chose.

Comme on me le faisais remarques, ma confiance s'est erodée.
Qui me dit que si elle revient ça ne sera pas pour repartir aussitôt ? Qui me dit quelle réaction j'aurai moi-même ? Je ne le sais pas.
Je crois que ce qui m'énerve le plus est de ne pas savoir.

Mais pour savoir, il faut la recontacter, et accepter des mots qui vraisemblablement ne seront pas ceux voulu.
Mais surtout, prendre une décision, irrévocable. Une décision de "survie", de protection personnelle.
Et on boucle la boucle. Si je prends cette décision là, maintenant, ça sera fini, pour de bon.
Et je ne peux pas !

16 juillet 2005

Sites de rencontre

A force de tourner en rond, j'ai décidé de m'inscrire sur un site de rencontre.
Rien que pour m'inscrire, j'y suis revenu 4 fois. A me dire. "Attend", "est-ce ça qu'il faut ?"

Et je l'ai fait.
Déjà, c'est cher.
Et déjà, ça me plait pas. J'ai l'impression d'être chez le grossiste. On choisi sur portrait, sur quelques mots et on s'en contente.
Si on veut discuter avec quelqu'un qui semble correspondre aux mêmes attentes, on se prend des vents, les "lettres mortes".
Merci Internet.

Caché derrière son clavier, on a tous les droits.
Se venger en jetant les autres, en les ignorant.
Je veux pas être difficile, je veux juste avoir le plaisir de pouvoir parler de ce que je suis et connaître ce qu'elle est.
Rien que ça semble être le bout du monde.

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité